Nom: Okkar
Prénom: Azear
Age: Une quinzaine d'années...
Race: Loup-garou
Elément: Vent, et eum... Loup ?
Choix du dortoir: À vous de voir,
Histoire: Pour commencer, Azear descend d'une grande lignée de nobles et riches loups-garous, d'où son nom et prénom si particuliers. Les Okkar déménageant presque tout le temps, leurs accents penchaient plus vers l'anglais. D'où la noblesse...
La grande majorité de ces créautres essayait d'étouffer la "malédiction", ce qui conclut le résultat à "légendes et mythes". Pour la plupart des loups-garous, c'était des réussites. Réussites dans le sens qu'ils découvraient leur démon sans trop de dégâts, pour ensuite l'étouffer et vivre une vie normale. Mais enfin, il devait bien y avoir son mouton noir. Ça tomba sur le tout dernier des Okkar. En plus d'être autant étrange que gaffeur, Azear ne laissait aucun signe d'être réellement un mi-loup. Problème, car il devait absolument le découvrir pour ensuite le "tuer". Sinon, il ne pourrait justement jamais sortir du royaume qu'est la demeure de ses nobles parents. Le plus tôt serait le mieux, mais déjà rendu à 10 ans, il n'en découvrit rien. C'était bien malheureux pour lui car il devint extrêment reclus, solitaire et... vraiment très étrange. En très bref, il rata tout le bonheur d'être un enfant épanoui, ne sortant, non mais vraiment, jamais. Mais il ne rata pas la chance d'être la pire des crapules égoïstes et cupides par le fait que tout venait à lui sans qu'il n'ait jamais à demander ou même souhaiter.
Leur fils maintenant dans l'âge d'aller au lycée, les Okkar entendirent vaguement parler de rumeurs concernant un pensionnat où d'étranges événements s'y produisaient. Quelle blague ! Enfin, ce pensionnat semblait rester dans l'anonymat et semblait être assez autoritaire. En s'informant, ils apprirent que ce n'était qu'un pensionnat privé mais forcèrent la dose... Avec quelques billets. Si leur si cher fils, aussi gâté qu'un prince, y allait, on ne pourrait pas en entendre vraiment parler si il découvrait accidentellement son démon. Enfin, cela semblait être un pensionnat où le silence était d'or.
Du coté de Azear, ce ne fut pas un soulagement du tout. Il était vrai qu'il se sentait un peu renfermé mais rencontrer d'autres personnes l'irritaient. Cela s'en termina à des coups de pied au derrière.
Enfin, que dire de plus ? Voilà ce qui clos la courte histoire.
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